mardi 13 juillet 2010

CA VA SORTIR

Petit article de mon ami Hannibal sur la sortie de mon livre prévue courant septembre ou octobre:http://hannibal-volkoff.blogspot.com/2010/07/couverture-des-vies-gachees-aux.html

7 commentaires:

Anonyme a dit…

fils de pute

FRED a dit…

tout d'abord "fils de pute", ça ne me touche pas, quand une insulte se cache derrière le voile de l'anonymat et donc de la lâcheté....
Sinon je peux partir du principe que n'est pas si anonyme que ça, car je l'avoue j'ai un doute.
Alors je répond à cette personne: "tinquieeeettte, il est pas mal mon livre, d'ailleurs il est prévu que tu en reçoives un exemplaire, à moins que tu ais peur de la vérité"
Pour conclure un petit extrait:
Il est 13 heures, je suis à l'angle de la rue d'Eric. C'est la première fois que je viens dans son quartier et j'ai le cœur qui bat la chamade à l'idée d'être aussi près de chez lui et de savoir que l'on se voit pour la dernière fois. Il me rejoint très vite et nous partons pour l'hôtel que j'ai réservé. Nous avons plus de temps à nous que les fois précédentes, pas de contraintes scolaires et pour moi pas de contraintes de retour vu que j'ai décidé de rester la nuit sur place et de ne repartir que le lendemain matin.
Ce fut un moment intense, sensuel et rempli de nostalgie, comme si nous vivions nos dernières heures. Après avoir fait l'amour, Eric se blottit contre moi, fondit en larmes. J'avais très envie aussi de pleurer mais je me devais d'être fort pour atténuer son chagrin, sa peine. J'essayais de le réconforter de mon mieux par des paroles apaisantes, mais plus je parlais plus son visage se couvrait de larmes. Je le serrais fort contre moi, passant ma main dans ses cheveux, essuyant ses larmes, cherchant les mots qui le réconforteraient, lui témoignant tout mon amour et mon amitié, lui rappelant que même si c'était la fin de notre relation je serais quand même toujours là pour lui s'il éprouvait le besoin de mon soutien dans les épreuves qu'il aurait à traverser.
Les dernières heures de l'après midi passèrent ainsi, à se promettre notre amour et notre soutien mutuel, même si ce la devait se passer en dehors du cadre de toute relation charnelle.
Vint l'heure de se séparer. Je ramenais Eric jusqu'à l'entrée de sa rue et je vis le moment où l'on ne se quittait plus. On retombait dans les bras l'un de l'autre, pour échanger nos derniers baisers, mêler nos dernières larmes. C'était un moment douloureux et intense où l'on avait l'impression que le temps s'était arrêté pour que ces quelques minutes durent toujours. Eric finit par descendre de voiture pour rentrer chez lui. Je le regardais s'éloigner, persuadé que je le voyais pour la dernière fois, avant de retourner à mon hôtel.

Anonyme a dit…

qu'est ce tu raconte t'est traquassé un peu

FRED a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
FRED a dit…

Tracassé? mdr non pas moi, d'autres peut être

FRED a dit…

Un autre extrait? Allez oué
Il est 19 h 24, soit 2 h 30 que l’on s’est quitté, environ… j’ai bien
réfléchi sur c’que l’avenir nous réservait, enfin, du moins, ce qu’allait
devenir notre relation et j’ai rapidement dévié sur le fameux questionnaire
que tu m’as relu lorsqu’on était l’un contre l’autre (qui était pour moi un
moment super, magique, extra, inoubliable) et j’ai réfléchi sur mon cadeau
d’anniversaire (j’avais répondu du style une semaine, grande maison, bien
équipée, en France, avec mon ours…) et j’ai fini par bien réfléchir et j’me
suis dit : mais quelle est ta ville préférée ? BARCAAAAAAAAAAAAA
(Barcelone), j’y vais minimum une fois par mois, c’est vital pour moi,
pourtant, je déteste absolument les Espagnols (voilà pourquoi j’ai pris
allemand en 2e langue)… où j’en étais ? Voilà alors mon cadeau d’anniversaire
idéal (en rêve, pas en réalité) ! Trois jours (oui, j’adore le chiffre
3) à Barcelone, programme imaginaire (enfin, mon rêve, quoi !) :
— Lundi (oui parce qu’il faut y aller dans la semaine sinon c’est mort
pour acheter à manger), 7 h 00 : départ de Montpellier (dans mon rêve,
t’habites à Montpellier), il faut approximativement trois heures pour aller
à Barcelone. Arrivés à Barcelone, on dépose nos sacs ou bagages à l’hôtel
(peu importe 2*, 3*, 4*), on décide de se débarbouiller, de boire un coca
(oui, j’aime le coca) et de faire une mini-sieste sur le lit, dans les bras
l’un de l’autre. Deux heures après, il est midi, vu que l’hôtel est en pleine,
ville on décide de descendre pour longer les remblas commerçantes et
finir sur le port (non, c’est pas un port dégueu comme Marseille). Vu que
les Espagnols mangent à une heure, on décide de faire la même chose.
Modestement, on s’achète un p’tit sandwich bien sympa ou pour moi, un
p’tit menu à Mac Do avec un grand coca (si t’as pas encore compris que
j’aime le coca et Mac Do, bé j’te parle plus !). On mange ça correctement
assis sur un banc face au port (j’rappelle qu’il est beau le port ! lol). Vingt
minutes après, on reprend la marche jusqu’à… (manque d’imagination,
on marchera là où le destin nous mène) !
44 45
Il est 8 h 00 (hé hé, chui pas chez mes parents, donc on mange pas à
sept heures !), on décide d’aller dans p’tit resto très sympa, pas trop cher
mais confortable avec des plats appétissants) ! Là, on parle d’anecdotes
plus ou moins extraverties, marrantes.
Il est 21 h 30, Barcelone vit beaucoup plus la nuit que le jour (elle
vit vraiment la nuit mais pas autant que le jour, j’exagère), on décide
de regarder les animations de rue que l’on trouve jusqu’à arriver à…
(manque d’imagination, on ira là où le destin nous mène) !
Il est 23 h 45, retour à l’hôtel, un peu fatigués, on prend une petite douche
ensemble puis on commence à s’embrasser pour finir vingt minutes plus
tard in the bed, pendant deux trois heures, on fait l’amour, on baise pas,
on fait l’amour et vu que j’aurai une peau d’adulte, bé j’aurai plus à me
soucier d’avoir la bouche en feu, donc voilà ! Et, vu qu’on paye pas l’eau,
bé on reprend une douche plus longue que celle d’avant… Trente minutes
plus tard, on se couche dans le même lit, j’aurai ma tête contre ton torse en
train de câliner tes beaux poils (non, sérieux, tes poils sont les plus beaux
que j’aie jamais vus) ! Puis, une heure après, on s’endort… pour finalement
se réveiller à 10 h 30 du matin, toujours pareil, ma tête sur ton torse en train
de câliner tes poils. C’est pas tout mais on a fait l’amour hier soir donc faut
manger ! On décide d’aller prendre un p’tit-déj à l’hôtel ; il est excellent
(dans mon rêve)… et là y a ma mère qui m’appelle pour venir manger donc
je dois quitter l’ordi… Par peur de ne plus avoir d’imagination, je m’arrête
là et si tu veux, tu peux continuer…
Surtout, j’espère ne pas t’avoir fait peur avec mes rêves plus ou moins
glauques…
Kisss, jtmmmm…
Il est 19 h 45, voici 2 h 46 que nous nous sommes quittés…

Hannibal Volkoff a dit…

HAHAHAHAHA, ce cher "anonyme"....